Naissance du blog, premier post, il y a deux ans…
A l’automne 2014, j’attendais avec impatience le dernier opus du réalisateur japonais Tetsuya Nakashima: 乾き/The world of Kanako. Nakashima m’avait enthousiasmé avec des oeuvres sidérantes telles que Memories of Matsuko ou Confessions, et avec le casting annoncé (Koji Yakusho, Miki Nakatani, Joe Odagiri…) je me disais que le film s’annonçait prometteur.
Je suis sorti éreinté de la séance, un tourbillon, des phases d’accélération qui laissent à peine le temps de digérer l’information, un déluge graphique et une descente infernale dans les recoins les plus sombres de l’âme humaine. Pour avoir vu le film quatre fois, je suis formel, c’est l’oeuvre cinématographique la plus misanthrope qu’il m’ait été donné de voir. Et il y avait Kanako…
Une certaine Nana Komatsu? Quoi? Comme le personnage de manga? Une recherche rapide me permettait alors d’apprendre qu’elle était une jeune mannequin et que c’était là son premier rôle dans un long métrage…
Voir l’article original 421 mots de plus